Walter Butler, les Do’s & Don’ts de l’investissement dans une entreprise en difficulté

« L’aventure est un risque mais la routine mortelle »

Si elle n’est pas affichée dans les bureaux de tous les professionnels du retournement d’entreprises, cette citation de Paulo Cuelho est le moteur de nombreux d’entre eux et est présente dans l’esprit de tous ceux qui ont pu assister au petit déjeuner conférence de l’Association des Jeunes professionnels du Restructuring (AJR), animé le 22 février dernier par Walter Butler que nous tenons à remercier.

Fondateur et président de Butler Industries, Walter Butler est revenu sur la naissance presque fortuite de son activité de retournement en 1993 avec le groupe de publicité BDDP, qui employait plus de 3.000 personnes dans huit pays et qui a été par la suite intégré au leader mondial Omnicom.

Présents dans toutes les phases de la vie d’une entreprise, de sa naissance à sa renaissance, en passant par son redéploiement et son internationalisation, Butler Industries investit depuis plus de 25 ans dans des sociétés leaders sur leurs marchés, à Paris, Shanghai, Londres et Sao Paulo.

Cet investisseur plutôt industriel intervient dans des secteurs variés (agricole, agro-alimentaire, restauration, retail, en B2B ou en B2C). Il a toutefois développé au fil de ses investissements une zone d’excellence en matière de nouvelles technologies et prête une attention particulière aux « pépites digitales » qui font l’objet d’une procédure judiciaire.

L’ADN de Butler Industries est composé de deux brins :

  • un plan d’action fort et rapide et
  • une collaboration avec les forces vives de l’entreprise « hands-on » en toute transparence.

La clé de ses nombreux succès : une approche globale et méthodique des difficultés de l’entreprise (l’entreprise perd-t-elle de l’argent en exploitation, a-t-elle besoin de new money et/ou comment ajuster son niveau de dette ?) et en France, un accord systématique des partenaires sociaux sur les restructurations envisagées.

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