Butler Industries s’associe à Onepoint et soutient son plan stratégique visant à sauver Atos

Butler Industries, société d’investissement française basée à Paris et fondée par Walter Butler, également présente à Shanghai, Londres et Singapour, annonce ce jour avoir rejoint le consortium formé par Onepoint, leader de la transformation technologique des entreprises et des acteurs publics dirigé par David Layani, dont l’ambition est de faire d’Atos la plateforme européenne du digital, de la cybersécurité et de l’intelligence artificielle, et le premier opérateur européen de cloud souverain.

 

Le plan stratégique soutenu par le consortium se structure autour de trois axes prioritaires :

  • Protéger et conserver l’intégralité des actifs du Groupe;
  • Permettre au Groupe de renouer dès que possible avec une trajectoire de croissance rentable;
  • Assurer la restructuration de la dette d’Atos.

 

Walter Butler a déclaré : « Je suis très heureux de participer à ce sauvetage d’Atos, une magnifique entreprise d’origine française qui opère dans de multiples domaines stratégiques et dans des secteurs en croissance. Si cette opération aboutit, elle permettra de sauver un fleuron technologique et de consolider son rôle d’acteur majeur sur le plan mondial. »

 

À propos de Butler Industries

 

Créé en 1991, Butler Industries est un investisseur industriel global basé à Paris, Shanghai, Londres et Singapour. Nous sommes présents dans toutes les phases de la vie d’une entreprise, de sa naissance à sa renaissance, en passant par son redéploiement et son internationalisation. Butler Industries a effectué plusieurs investissements réussis dans des ESN (notamment Nextira One, Osiatis, Econocom), a conduit un nombre important de restructurations depuis 25 ans (notamment BDDP, SNCM, Anovo, ATYS, France Champignon…) et a aujourd’hui des participations dans une vingtaine d’entreprises, notamment dans le secteur de la défense, de la gestion de l’épargne et de l’agroalimentaire.

 

Pour plus d’informations : https://butlerindustries.com/

 

Contacts :

 

Butler Industries : [email protected]

Havas : [email protected] (06 45 75 81 10 / 06 72 55 80 35)

 

Welcome Management Systems s’adosse à Butler Industries afin d’accélérer son développement

Welcome Management Systems (WMS), l’éditeur du logiciel de gestion pour les acteurs du tourisme et des loisirs « TourBiz », est heureux d’annoncer son intégration au sein du groupe Butler Industries.

 

Cette entrée dans le groupe Butler Industries, investisseur industriel français de stature internationale, vise à accompagner la croissance de WMS et à enrichir son offre pour faire émerger WMS comme l’un des éditeurs de progiciel leader dans le secteur du tourisme et des loisirs en proposant une solution complète de la prise de commande à l’intégration comptable en passant par la production et la distribution multicanale.

 

Le logiciel Tourbiz s’interface déjà avec les plus grands distributeurs nationaux et internationaux, tels que Come to Paris, Welogin, Viator, et Get Your Guide. Cette connectivité s’étend également aux API des plus importants channel managers comme Rezdy, Ventrata, ou encore France Billet. Cette polyvalence fait de Tourbiz la solution idéale non seulement pour les producteurs d’activités à la recherche d’une solution de gestion de billetterie et de distribution multicanal, mais également pour les Offices de Tourisme désireux de posséder une solution de distribution locale qui laisse la liberté à leurs adhérents du choix de leur billetterie.

 

« Butler Industries est reconnu pour son rôle pivot dans ses investissements, se distinguant par son engagement sans horizon de temps envers le développement de projets innovants et porteurs. Je suis très heureux d’ouvrir aujourd’hui une nouvelle page pour le logiciel Tourbiz et de collaborer avec Butler Industries » a déclaré Richard Combet-Joly, fondateur de Welcome Management Systems.

 

Laurent Parquet, Associé du Groupe Butler Industries, a commenté : « Richard Combet-Joly a développé avec le logiciel Tourbiz un outil d’accompagnement particulièrement performant, reconnus par les acteurs du tourisme. Je me réjouis de cette opération qui ouvre des perspectives inédites pour Welcome Management Systems en accédant à des ressources substantielles. L’objectif est de consolider la présence de WMS sur le marché français et d’étendre son rayonnement à l’international, affirmant ainsi sa position de leader auprès des professionnels du tourisme, des loisirs et de la culture ». 

 

À propos de Welcome Management Systems :

Fondée au début des années 2000 par Richard Combet-Joly, Welcome Management Systems s’impose comme un acteur clé dans le secteur du tourisme et des loisirs grâce à son logiciel Tourbiz. Ce dernier propose des solutions logicielles de pointe pour satisfaire les exigences complexes des professionnels de ce secteur. Avec un engagement constant envers la qualité, la fiabilité et l’innovation, au travers d’un soutien personnalisé, WMS s’est établie comme un partenaire de confiance pour des entreprises de toutes tailles, cherchant à optimiser leurs opérations et à accroître leur compétitivité.

 

À propos de Butler Industries :

Créé en 1991, Butler Industries est un investisseur industriel global, basé à Paris, Shanghai, Londres, et Singapour, et présent dans 30 pays sur 5 continents. Le groupe est présent dans toutes les phases de la vie d’une entreprise et soutient activement la mise en œuvre de stratégies de croissance à long terme.

Depuis près de 30 ans, le groupe a concentré ses investissements dans des entreprises en croissance, des start-up, des entreprises technologiques. Le Groupe a un portefeuille diversifié (Asset Management, Défense, Sécurité, IT) tout en ayant développé ces dernières années un pôle Lifestyle au travers d’investissements dans des sociétés emblématiques telles que Moma Group, Pierre Hermé, L’Ambroisie, le Paradis Latin, Come to Paris, La Liste.

MOMA Group accueille Walter Butler à son capital

 

Benjamin Patou et Walter Butler souhaitent accélérer ensemble le développement de Moma pour l’imposer comme l’un des leaders européens des concepts de restauration premium, symboles d’un certain « art de recevoir » en France et au-delà des frontières

 

Moma Group, leader français indépendant de l’hospitalité et de la restauration festive fondé par Benjamin Patou, annonce l’entrée à son capital de Butler Industries en tant qu’actionnaire minoritaire significatif. A cette occasion, Walter Butler est nommé vice-président non exécutif, et membre du conseil d’administration.

 

Ce partenariat stratégique s’inscrit dans une vision partagée de long terme visant à accélérer la croissance ambitieuse fixée par Moma Group pour ouvrir plus de 30 nouveaux établissements à horizon 2025, en s’appuyant sur la force de ses marques emblématiques comme Lapérouse, Mimosa, Casa Amor et Noto dans des territoires à potentiel incluant les Etats-Unis, le Moyen-Orient et les grandes capitales européennes.

 

En une décennie, Moma Group s’est imposé comme un acteur incontournable des secteurs de l’évènementiel, de l’hospitalité et de la restauration festive en France, en déployant une offre intégrée au service de ses clients reposant sur une ambition : celle de leur faire vivre des expériences uniques dans des lieux d’exception.

 

Depuis sa création en 1991, Butler Industries a développé une expertise reconnue dans les métiers de la restauration et de l’évènementiel, avec des investissements significatifs dans des actifs emblématiques comme le Paris Saint Germain, le groupe de communication BDDP, le Paradis latin, le groupe Pierre Hermé, l’Ambroisie, le groupe Partouche, La Liste ou plusieurs vignobles.

 

Le soutien financier et l’apport d’expérience de Butler Industries interviennent à un moment d’accélération de l’histoire de Moma Group, alors que l’entreprise s’apprête à dévoiler une quinzaine de nouvelles adresses au cours des 12 prochains mois, incluant notamment : Noto et Boeuf sur le Toit à Marrakech ; Mimosa, Café Lapérouse, Noto et Manko en Arabie Saoudite ; Manko à Athènes ; Casa Amor à Dubaï ; Café Lapérouse à Miami ; Noto à Nice ; Mimosa à Londres, quelques semaines après la récente ouverture du café Lapérouse dans la capitale britannique.

 

Commentant cette opération, Benjamin Patou, Président fondateur de Moma Group, a déclaré : « Je me réjouis d’accueillir Butler Industries et Walter Butler au capital de Moma Group. En tant qu’entrepreneurs et passionnés des métiers de l’hospitalité et du savoir-vivre à la française, nous partageons avec Walter Butler l’envie de continuer à faire grandir la reconnaissance de Moma Group au-delà des frontières françaises. Avec cette prise de participation, Moma Group peut compter sur un nouveau partenaire, doté d’importants moyens financiers, engagé et expert pour accélérer sa croissance rentable et créer des synergies intéressantes entre nos marques. »

 

Walter Butler, Président de Butler Industries, a également commenté : « C’est une grande joie pour moi et pour Butler Industries de devenir aujourd’hui l’actionnaire minoritaire de référence de Moma, aux côtés de Benjamin Patou, et de s’associer à une personnalité qui contribue au rayonnement de l’art de vivre français dans le monde. Bien plus qu’un investissement financier, c’est un investissement sur le savoir-faire français dans l’art de vivre, et ce sur un projet de long terme. »

 

 

Contacts presse

Moma Group

Alexandra van Weddingen                              Eléonore Barreyre

Alva                                                                 Alva

[email protected]            [email protected]

06 11 01 17 91                                                 06 48 17 52 22

 

 

A propos de Moma Group

Moma Group propose à ses clients un panel intégré de services : 800 collaborateurs répartis dans quatre métiers de l’événementiel – traiteur, lieux, conseil et spectacles. Une expertise reconnue dans la création de restaurants, de lieux inédits et de stratégie événementielle pour les entreprises, les marques et les institutions. Propriétaire d’établissements singuliers, Moma Group développe une expertise pointue tant dans l’exploitation, la communication et le marketing que dans le secteur de la restauration, tirant son succès dans la capacité à rassembler des talents et personnalités autour de concepts forts. Plus d’informations : www.moma-group.com

 

A propos de Butler Industries

Créé en 1991, Butler Industries est un investisseur industriel global, notamment basé à Paris, Shanghai, Londres, et Singapour, et présent dans 30 pays sur 5 continents. Le groupe est présent dans toutes les phases de la vie d’une entreprise et soutient activement la mise en œuvre de stratégies de croissance à long terme. Depuis près de 15 ans, le groupe a concentré ses investissements dans des entreprises en croissance, des start-up, des entreprises technologiques, et ce tant en Europe qu’en Asie. Les principaux investissements du groupe (en dehors du pole lifestyle) sont notamment dans les secteurs de la défense et de la sécurité, ainsi que dans l’épargne, à travers CorumButler. Pour en savoir plus : www.butlerindustries.com

 

 

 

Butler Industries tisse sa toile dans le tourisme à Paris

Après les récentes acquisition du Paradis Latin, du restaurant triplement étoilé de la place des Vosges L’Ambroisie ou encore de la maison de pâtisseries Pierre Hermé, la holding d’investissement de Walter Butler mise désormais dans Come to Paris, selon les informations publiques liées à cette société. Elle prend ici part à un tour de table emmené par Jean Degiron, qui dirige depuis 2019 cette entreprise de commercialisation de tickets pour des activités de loisir et de tourisme dans la capitale. Butler Industries, conseillé par June Partnerssuccède au tandem mis en place en 2011. A l’époque, la société était acquise par un trio de repreneurs, épaulé par Socadif à l’occasion d’un MBI. Ces derniers se sont entourés de CFI France – Athema afin de passer la main. « Les trois repreneurs, qui n’étaient plus opérationnels, ainsi que Socadif, souhaitent céder leurs titres », justifie un proche du dossier.

En dehors de la période du Covid, Come to Paris a toujours été en croissance et a retrouvé en 2022 un niveau d’activité supérieur à 2019 », ajoute notre source. La société est parvenue à plus que doubler de taille sur son précédent cycle capitalistique, puisqu’elle affichait 4,2 M€ de chiffre d’affaires en 2011, dont un quart généré via le site location-ski-moins-cher.com (depuis cédé). Ses ventes ont atteint 8 M€ l’an dernier. La majeure partie de cette activité est encore générée en Ile-de-France, principalement via la commercialisation de dîners-croisières, de places pour des cabarets, de visites de musée, et des spectacles. La moitié des clients réservant sur son site internet (traduit en dix langues) sont étrangers. Ce savoir-faire a été retenu par l’Office du Tourisme de Paris pour la gestion de sa billetterie en ligne. Hors de la capitale, Come to Paris a aussi initié le développement de cette activité en région avec sa marque Ticketeaser et à Londres avec Come to London. Les nouveaux actionnaires souhaitent pousser ce développement hors des bases historiques, notamment en Espagne et en Italie.

Butler Industries annonce l’acquisition d’une participation majoritaire dans L’Ambroisie

Aux côtés de son fondateur Bernard Pacaud, Walter Butler et son groupe Butler Industries annoncent ce jour l’acquisition d’une participation majoritaire dans le restaurant parisien L’Ambroisie. Cette transaction réalisée sur fonds propre, sans recours à l’emprunt et sans échéance dans le temps, prévoit l’acquisition du fonds de commerce et des murs de l’établissement.

L’arrivée de Butler Industries au capital de l’Ambroisie a pour ambition première de conforter son rôle de porte-drapeau de l’excellence française en matière de gastronomie, dans le respect de son identité singulière. Installé depuis décembre 1986 au cœur de Paris, sous les célèbres arcades de la place des Vosges, ce fleuron de la haute gastronomie française a été distingué par de nombreux prix et récompenses.

Bernard Pacaud, qui reste président, associé et chef de l’établissement qu’il a porté au firmament de la gastronomie mondiale, gardera la haute main sur la cuisine de L’Ambroisie, à laquelle il apporte son savoir-faire unique reconnu dans le monde entier, notamment par le Guide Michelin où il a obtenu trois étoiles sans discontinuer depuis trente-sept ans. À ce titre, il demeure étroitement associé à la réussite et à la pérennité du projet.

« L’Ambroisie n’est pas qu’un restaurant, c’est L’Ambroisie, et Bernard Pacaud n’est pas qu’un monument de la gastronomie mondiale, c’est un parcours de vie unique, reflet de ce que la France peut avoir de plus extraordinaire. La vie de Bernard montre à quel point l’espérance doit avoir une place dans nos vies. C’est pour moi un investissement de cœur et de raison dans un joyau du patrimoine français. Je suis honoré de la confiance de Bernard et Danièle Pacaud, et déterminé à prolonger leur contribution exceptionnelle au savoir-faire gastronomique français. C’est une grande responsabilité et une immense fierté pour moi d’œuvrer avec Bernard et Danièle Pacaud pour que L’Ambroisie reste la référence de la cuisine française », commente Walter Butler, Président de Butler Industries.

« Je suis particulièrement fier d’avoir fait de L’Ambroisie, avec mon épouse Danièle, une institution dans le monde de la gastronomie française. C’est un savoir-faire qui m’a été transmis par la Mère Brazier, première femme deux fois triplement étoilée. L’Ambroisie, c’est pour moi l’œuvre d’une vie fondée sur le travail, l’humilité, la rigueur, l’attention aux clients et la générosité. Ce sont les valeurs fondatrices que m’ont léguées mes deux mentors, « la Mère » et Claude Peyrot – 3* étoiles au Guide Michelin – que je m’efforce à mon tour de transmettre à mes clients et mes équipes. Le projet de Walter Butler s’inscrit dans la continuité de ces valeurs, et je suis heureux d’assurer ainsi l’avenir de cette institution, que j’accompagnerai avec la passion intacte qui m’anime depuis soixante ans », déclare Bernard Pacaud, fondateur et chef de l’Ambroisie.

 

« Pourtant, sous la tutelle invisible d’un Ange,

L’enfant déshérité s’enivre de soleil,

Et dans tout ce qu’il boit et dans tout ce qu’il mange

Retrouve l’Ambroisie et le nectar vermeil »

Charles Baudelaire « Bénédiction »

Solidarité : le 22 mars, le Paradis Latin jouera en faveur de l’Ukraine

Le cabaret de la Rive gauche propose mardi prochain son dîner-spectacle à seulement 100 euros et reversera l’intégralité des recettes pour l’Ukraine. D’autres soirées de soutien ont lieu à Paris ces prochains jours.

La recette du dîner-spectacle « L’Oiseau Paradis » (ici en septembre 2021) du mardi 22 mars sera versée à des associations ukrainiennes. LP/Olivier Corsan

« On a eu des artistes à la fois ukrainiens et russes dans la troupe, mais au-delà, ce qui se passe aux frontières d’Europe nous sidère tous, et nous nous sommes demandé ce que nous pouvions faire pour accompagner le mouvement de solidarité », explique Walter Butler, propriétaire du Paradis Latin. « L’idée d’une soirée spéciale s’est imposée, ce sera le mardi 22 mars et l’intégralité des recettes sera reversée pour aider les Ukrainiens ».

Le prix du dîner-spectacle est fixé à 100 euros – un tarif boissons comprises moindre pour bénéficier du même menu signé Guy Savoy que d’habitude – soit une recette espérée d’au moins 50 000 euros, souffle le patron. « Nous allons faire un appel aux dons pour renforcer encore cette somme », ajoute-t-il. Parce que « vu l’évolution de la situation, c’est maintenant que les Ukrainiens ont besoin d’une aide humanitaire rapide », l’homme d’affaires prévoit de reverser le montant directement à des associations ukrainiennes.

« L’idée, c’est de fournir une aide ciblée et rapide », indique-t-il, missionnant une ancienne membre du centre culturel ukrainien en France pour sélectionner les bénéficiaires. À défaut de parvenir à en identifier, la somme ira à la Croix-Rouge. « Le moindre centime dépensé sera consacré à aider les Ukrainiens », assure-t-il. Avant de proposer « L’Oiseau Paradis », la revue signée Kamel Ouali, le cabaret proposera un concert spécial en lieu et place de son habituel avant-spectacle pendant lequel le dîner est servi. « Imagine », « L’Envie d’aimer », « Over the Rainbow », ou encore « Quand on n’a que l’Amour », une quinzaine de titres seront interprétés par sept chanteuses et chanteurs, parmi lesquels Cyril Cinélu, Sofiane ou Amalya, mais aussi l’Ukrainienne Yana Brillitskaya, qui entonnera l’hymne de son pays.

Soirée de soutien a l'Ukraine au Paradis Latin

Source : Le Parisien

Butler Industries s’offre SeaOwl

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Quelques semaines après avoir croqué les macarons de Pierre Hermé, Butler Industries signe une nouvelle opération. Il reprend la société de services maritimes SeaOwl, renouant ainsi avec un secteur qu’il affectionne. L’ancien actionnaire de la SNCM reprend l’intégralité du capital qui se partageait depuis 2015 entre Cathay Capital (environ 40 % des parts) et des actionnaires privés français et italiens. Il associera également le dirigeant Xavier Genin et ses équipes, dont le poids devrait croître. L’investisseur assure un financement entièrement en equity, laissant simplement les crédits bancaires en place (essentiellement liés au financement des navires), et solde la mezzanine mise en place par Trocadero Capital en 2017.

Fondé en 2008, SeaOwl partage son activité entre deux grands secteurs : celui de l’énergie où il assure notamment la maintenance d’actifs offshore pour des industriels comme TotalEnergiesNaval Group, ou TechnipFMC, et celui de la défense où il accompagne les marines nationales dans leurs actions en mer, via un support technique et des missions d’entraînement. L’entreprise a notamment fait parler d’elle pour avoir obtenu, en 2020, le premier permis français de navigation pour un bateau téléopéré. Les premiers contrats pour la commercialisation de ce savoir-faire sont d’ailleurs en cours de négociation. Le groupe aux 1.300 salariés réalise ainsi plus de 100 M€ de chiffre d’affaires pour une marge d’Ebitda de l’ordre de 10 %. Actif dans 32 pays, via une quinzaine de filiales, il tire 80 % de ses revenus de l’étranger, essentiellement en Asie et en Afrique. L’objectif est de poursuivre son développement sur ces régions ainsi qu’au Moyen-Orient, tout en accélérant les investissements dans les domaines de la téléopération de navires et des drones marins.

Autres services aux entreprises SeaOwl CA : 100 M€ Ile-de-France

Butler Industries : Walter Butler, Laurent Parquet, David Movahhedi • Conseils acquéreur : due diligences : financière : June Partners (Fabrice Keller, Baptiste Giordano) ; juridique : KPMG Avocats (Vincent Lacombe, Florence Olivier, Albane Eglinger), stratégique : Advention Business Partners (Alban Neveux, Iska Pivois) ; juridique : BDGS (Antoine Bonnasse, Jérôme du Chazaud, Yaëlle Cohen) • Conseils cédant financierOddo BHF Corporate Finance (Nicolas Ecot, Xavier Lalau Keraly), Invest Corporate Finance (Christophe Marchand), Hetland Maritime (Philippe Hetland Brault, Sixte de Gastines) ; VDD : financière : EY (Laurent Majubert, François Estin), fiscale : EY Société d’Avocats (Sandrine Gobaut, Sigrid Cassagne), stratégie : Archery Strategy Consulting (Rémy Bonnery) ; juridiqueHogan Lovells (Stéphane Huten, Ali Chegra)

Source: Capital Finance

Butler Industries s’offre les pâtisseries Pierre Hermé

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La maison Pierre Hermé reconfigure son capital. La pâtisserie haut de gamme, connue notamment pour ses macarons, s’allie à Butler Industries en tant qu’actionnaire majoritaire. L’investisseur industriel, qui finance l’opération entièrement equity, prendrait environ les deux tiers du capital, selon l’AFP. Il offre ainsi une porte de sortie à LOG Investment, la holding d’investissement du groupe L’Occitane, qui avait acquis une position minoritaire en 2015, avant de prendre le contrôle quatre ans plus tard. Le chef, sacré meilleur pâtissier au monde en 2016, conserve quant à lui sa participation. Fondée en 1997, l’entreprise s’est fortement développée en Asie, notamment au Japon où elle réalise près de 40 % de ses recettes. Elle compte aujourd’hui une soixantaine de points de vente, essentiellement en France, en Allemagne, au Royaume-Uni et en Asie, lui permettant d’approcher les 100 M€ de chiffre d’affaires. Celui-ci était de 50 M€ en 2015.

Le groupe, qui emploie près de 500 salariés, devrait encore étendre son réseau dans l’Hexagone et à l’étranger, en misant notamment sur les gares et les aéroports. Des partenariats avec des hôtels de luxe sont également à l’étude, tandis que les ventes en ligne, qui ont triplé depuis le début de la crise sanitaire, devraient poursuivre leur croissance.

Butler Industries : Walter Butler, Laurent Parquet, David Movahhedi • Conseils investisseur : due diligences : financière : Eight Advisory (Shafik Hosni, Louis Aucomte, Arthur Lantier), juridique : KPMG (Xavier Houard, Albane Eglinger, Florence Olivier) ; juridique : BDGS (Antoine Bonnasse, Jérôme du Chazaud, Yaelle Cohen) • Conseils cédant : financier : CFI France – Athema (Jean-Marc Teurquetil, Laetitia Ep, Charles Watelet) ; VDD financière : PwC (Philippe Serzec, Rachel Aoust) ; juridique : Steering Legal (Nuno de Ayala Boaventura, Agathe Martin)

Source: Capital Finance

Avec Kamel Ouali, le Paradis Latin s’offre un show grandiose remis au goût du jour

Le Paradis Latin : le + Ancien Cabaret de Paris | Site Officiel

Le doyen des cabarets parisiens a fait confiance au chorégraphe pour signer sa nouvelle revue L’Oiseau Paradis. Un spectacle débordant d’énergie, où dialoguent avec brio tradition et modernité.

 « The show must go on ». Oui, mais pas n’importe comment. Après un an de fermeture forcée, le Paradis Latin opère un retour en force avec la reprise de sa nouvelle revue L’Oiseau Paradis, lancée une première fois en 2019. Dirigée par le chorégraphe de renom Kamel Ouali, elle est placée sous le signe de l’humour et de l’irrévérence, où tradition et modernité se bousculent dans une véritable leçon de style.

Pendant près de deux heures, Kamel Ouali déroule ses univers bigarrés à travers dix-huit tableaux époustouflants, rythmés par les pas de danse d’une troupe survoltée. Mais si le chorégraphe, grand amateur de music-hall, respecte à la lettre certains codes du cabaret, il s’amuse aussi à les revisiter. Tradition oblige, deux amoureux dansent la farandole à Montmartre, tandis qu’une chanteuse à voix se cambre dans un habit de lumière écarlate en reprenant des hits de Beyoncé.

Mais le show est ponctué de touches plus contemporaines, qui lui apportent profondeur et originalité. Si on se met à bouger des coudes sur les tubes d’ABBA, on se délecte surtout d’une bande-son plus audacieuse qui laisse échapper de la new wave ou de l’électro, des morceaux allant de Depeche Mode à Alain Bashung.

Au milieu des frous-frous, des plumes et des paillettes, des jeux de lumières et vidéos 3D laissent les convives sans-voix. On pense à ce show en trompe-l’œil de la meneuse de revue Solen Shawen, qui, en sous-vêtement couleur chair, se métamorphose en humanoïde sous des images de synthèse. La magie opère également au-dessus des têtes avec des artistes flottant dans les airs, suspendus à Pégase, cheval ailé de la mythologie grecque, descendant du ciel.

Au total, près d’une quinzaine de décors exceptionnels accompagnent le spectacle, signés Alain Lagarde, créateur reconnu pour ses décors d’opéra, de comédies musicales et pièces de théâtre. S’y ajoutent 500 costumes signatures (robes clinquantes, coiffes en tête de lion et plumes d’oiseaux) créés par la maison de couture On aura tout vu, qui a notamment collaboré avec Katy Perry.

Une revue à son image

Le mot d’ordre est à la fête, mais celle-ci rime avec l’actualité. Le chorégraphe se dévoile à travers ses portraits, et ne se prive pas de faire quelques clins d’œil aux causes qui lui sont chères. À l’image du ballet de méduses sur l’opéra de Lakmé soudain englouties par un amas de déchets.

Côté casting, on est envoûté par la voix chaude du chanteur Cyril Cinélu, grand vainqueur de la Star Acacemy 6, accompagné par la drag-queen Icee Drag On (La France a un incroyable talent). De même que par le dîner, réussi et très coloré, du chef Guy Savoy. Dans les assiettes, foie gras mi-cuit au sel de Guérande, pavé de cabillaud, patate douce «comme une brandade» et dessert citron verveine (le dîner-spectacle est à partir de 140).

Un sans-faute pour Kamel Ouali qui signe une revue audacieuse et parfaitement équilibrée, entre danse, musique, humour et décadence. « The show must go on ».

Le Paradis Latin, 28, rue du Cardinal Lemoine (5e). www.paradislatin.com

 Source: Le Figaro

BTP : Fayat se renforce dans la ville intelligente avec NXO

Le numéro quatre français du BTP achète au fonds Butler Industries une ancienne filiale d’Alcatel après avoir acquis au printemps un fabricant de balayeuses, devenant ainsi le numéro un mondial du secteur. Le groupe familial est devenu, fin 2020, la cinquième entreprise détenue par une fondation.

NXO, qui maîtrise les technologies du numérique, est bien implanté avec 36 agences dans toute la France.

NXO, qui maîtrise les technologies du numérique, est bien implanté avec 36 agences dans toute la France. (NXO)

Avec l’acquisition au fonds Butler Industries de la société NXO (ex-NextiraOne) le groupe Fayat continue d’afficher sa stratégie de croissance externe. Le numéro quatre Français du BTP a acheté cette ancienne filiale d’Alcatel pour près de 100 millions d’euros, selon « Capital Finance ». « Cette entreprise n’était pas à vendre mais elle nous intéressait. Nous voulons nous développer dans le numérique, un outil essentiel pour l’avènement du concept de smart cities », précise Jean-Claude Fayat, à la tête avec son frère Laurent du groupe familial de BTP. NXO est une société de service informatique spécialisée dans la mise en place et la gestion d’infrastructures de réseaux numériques pour les entreprises et les collectivités.

Le groupe Fayat, numéro quatre français du BTP avec 4,1 milliards d’euros de chiffre d’affaires l’an dernier, communique depuis des années sur les enjeux de la ville intelligente mais restait un acteur modeste de ce secteur en croissance et qui s’appuie essentiellement sur le numérique. Sa filiale Semeru, spécialisée dans la pose de capteurs et l’exploitation de données (gestion des eaux pluviales, comptage de véhicules, supervision de bâtiment…), réalisait seulement 48 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2020. ​Avec NXO, qui pèse 250 millions d’euros de chiffre d’affaires pour 1.250 salariés, le groupe de BTP met la main sur un acteur bien implanté avec 36 agences dans toute la France. « Les synergies entre Semeru et NXO et le potentiel de développement sont très importants. Nous avons déjà beaucoup de contacts », précise Jean-Claude Fayat.

Numéro un mondial des balayeuses

Le groupe Fayat créé en 1957 par Clément Fayat a historiquement plusieurs fers au feu. Le BTP, son métier d’origine, génère toujours les deux tiers de son chiffre d’affaires. Les différents chantiers du Grand Paris pèsent environ 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires. Il s’est aussi diversifié dans l’industrie avec une série de rachats dans le monde des engins de construction et notamment le matériel routier et les balayeuses de ville.

Au printemps dernier, le groupe bordelais a poursuivi ses emplettes en mettant la main sur le fabricant italien de balayeuses Dulevo qui réalise un chiffre d’affaires de 70 millions d’euros. Il complète ainsi une offre constituée des marques Ravo, Scarab et Mathieu, mais augmente surtout de taille. Avec un chiffre d’affaires total de 250 millions d’euros, il revendique même désormais 20 % du marché mondial soit la place de numéro un.

Le groupe, devenu en fin d’année dernière la cinquième entreprise française à être détenue par une fondation , lance également une campagne de communication et de recrutement. Le groupe, qui vise un chiffre d’affaires de 4,6 milliards d’euros cette année, a l’ambition de recruter 1.000 salariés sur les trois ans à venir.

Source : Les Echos